Background and aim: Emergency Department (ED) renal point-of-care ultrasound (PoCUS) in renal colic by accredited specialists has good prognostic value. This may not be generalizable to under-resourced EDs. We investigated PoCUS in renal colic in our ED with lesser training.
Methods: We performed a single-centre health records review of adult ED patients with renal colic and PoCUS. Patients were managed by a non-ED specialist/resident doctor with no POCUS accreditation in consultation with an attending. These doctors attended a 3.5-h training session conducted by accredited attendings to examine hydronephrosis. They needed to verify their PoCUS findings with an attending during the first two weeks of their six-month posting before performing it independently. The primary outcome was 30-day urological procedures in hydronephrotic vs. non-hydronephrotic groups. Secondary outcomes were the distribution of primary outcome with grades of hydronephrosis, 30-day ED nephrolithiasis-related reattendances in hydronephrotic vs. non-hydronephrotic groups and its distribution with grades of hydronephrosis. We compared outcomes using Fisher's exact test. We also reported crude odds ratio (COR) and 95% CI of primary outcome between hydronephrotic vs. non-hydronephrotic groups. p values ≤ 0.05 were significant.
Results: We recruited 651 patients; 160 (24.6%) without and 491 (75.4%) with hydronephrosis. Rates of grades of hydronephrosis were: mild (76.6%), moderate (13.8%), severe (1.2%) and undifferentiated (8.4%). There was a difference in 30-day urological procedures (rates [95% CI]) in hydronephrotic vs. non-hydronephrotic groups, 11.2 [8.7-14.0]% vs. 2.5 [1.0-6.3]%; p < 0.001; COR (95% CI) 4.9 (1.8-13.8); p = 0.002. Increasing 30-day urological procedural rates were associated with increasing grade of hydronephrosis [no: 2.5%, mild: 7.7%, moderate: 23.5%, severe: 67.0% and undifferentiated: 14.6%; p < 0.001]. No differences occurred in other secondary outcomes.
Conclusions: Renal PoCUS could be performed by non-ED specialist/resident doctors to identify patients without hydronephrosis who rarely required urological intervention. Hydronephrotic patients could benefit from further risk stratification.
Abstrait: CONTEXTE ET OBJECTIF: L’échographie rénale au point de soin (PoCUS) dans les coliques rénales par des spécialistes agréés a une bonne valeur pronostique. Cela peut ne pas être généralisable aux SU sous-financés. Nous avons étudié PoCUS dans les coliques rénales dans notre DE avec une formation moindre. MéTHODES: Nous avons effectué un examen des dossiers médicaux d’un seul centre des patients adultes atteints de coliques rénales et de PoCUS. Les patients étaient pris en charge par un médecin résident/spécialiste non-membre de la DG sans accréditation POCUS en consultation avec un médecin traitant. Ces médecins ont assisté à une séance de formation de 3,5 heures menée par des titulaires accrédités pour examiner l’hydronéphrose. Ils devaient vérifier leurs résultats PoCUS auprès d’un assistant pendant les deux premières semaines de leur affectation de six mois avant de l’effectuer de manière indépendante. Le critère de jugement principal était des procédures urologiques de 30 jours dans les groupes hydronéphrotiques vs non-hydronephrotiques. Les critères de jugement secondaires étaient la distribution du critère de jugement primaire avec les grades d’hydronéphrose, les reattendances liées à la néphrose ED de 30 jours dans les groupes hydronéphrotiques vs non hydronéphrotiques et sa distribution avec les grades d’hydronéphrose. Nous avons comparé les résultats en utilisant le test exact de Fisher. Nous avons également signalé un rapport de cotes brut (RC) et un IC à 95 % du critère de jugement principal entre les groupes hydronéphrotiques et non hydronéphrotiques. Les valeurs de P 0,05 étaient significatives. RéSULTATS: Nous avons recruté 651 patients; 160 (24,6%) sans et 491 (75,4%) avec hydronéphrose. Les taux d’hydronéphrose étaient les suivants : légère (76,6 %), modérée (13,8 %), sévère (1,2 %) et indifférenciée (8,4 %). Il y avait une différence dans les interventions urologiques de 30 jours (taux [IC à 95 %]) dans les groupes hydronéphrotiques par rapport aux groupes non-hydronephrotiques, 11,2 [8,7-14,0] % contre 2,5 [1,0-6,3]%; p < 0,001; RCC (IC à 95 %) 4,9 (1,8-13,8); p = 0,002. L’augmentation des taux de procédures urologiques de 30 jours était associée à l’augmentation du grade d’hydronéphrose [non : 2,5%, léger : 7,7%, modéré : 23,5%, sévère : 67,0% et indifférencié : 14,6%; p < 0,001]. Aucune différence n’est survenue dans les autres critères de jugement secondaires.
Conclusions: La PoCUS rénale pourrait être réalisée par des médecins non spécialistes/résidents de la D pour identifier les patients sans hydronéphrose qui ont rarement nécessité une intervention urologique. Les patients hydronéphrotiques pourraient bénéficier d’une meilleure stratification des risques.
Keywords: Hydronephrosis; Point-of-care; Renal colic; Renal ultrasonography.
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