Analysis of factors affecting Canadian medical students' success in the residency match

Can Med Educ J. 2020 Jul 15;11(3):e43-e55. doi: 10.36834/cmej.68981. eCollection 2020 Jul.

Abstract

Background: In North America, there is limited data to support deliberate application strategies for post-graduate residency training. There is significant interest in determining what factors play a role in Canadian medical graduate (CMG) matching to their first choice discipline and heightened concern about the number of students going unmatched altogether.

Methods: We analyzed matching outcomes of CMGs based on seven years (2013-2019) of residency application data (n= 13,499) from the Canadian Residency Matching Service (CaRMS) database using descriptive and binary logistic regression modeling techniques.

Results: The sample was 54% female, with 60% between the ages of 26 and 29, and 60% attended medical schools in Ontario. Applicants who received more rankings from residency programs were more likely (OR = 1.185, p < 0.001) to match. Higher research activities (OR = 0.985, p < 0.001) and number of applications submitted (OR = 0.920, p < 0.001) were associated with a reduced likelihood of matching. Number of volunteer activities and self-report publications did not significantly affect matching. Being male (OR = 0.799, p < 0.05) aged <25 (OR = 0.756, p < 0.05), and from Eastern (OR = 0.497, p < 0.01), or Western (OR = 0.450, p < 0.001) Canadian medical schools were predictors of remaining unmatched.

Conclusions: This study identified several significant associations of demographic and application factors that affected matching outcomes. The results will help to better inform medical student application strategies and highlight possible biases in the selection process.

Contexte: En Amérique du Nord, les données qui soutiennent les stratégies délibérées de candidature pour la formation en résidence postdoctorale sont limitées. Il existe un intérêt important dans la détermination des facteurs qui jouent un rôle dans le jumelage des diplômés canadiens en médecine (DCM) à leur discipline de premier choix et dans les préoccupations croissantes au sujet du nombre d’étudiants non jumelés.

Méthodes: Nous avons analysé les résultats des DCM sur une période de sept ans (2013-2019) à partir de données de demandes de résidence (n = 13 499) tirées de la base de données du Service canadien de jumelage des résidents (CaRMS) en utilisant des techniques de modélisation par régression logistique binaire.

Résultats: L’échantillon comportait 54 % de femmes, avec 56 % âgées de 26 à 29 ans, et 60 % qui allaient à des facultés de médecine en Ontario. Les candidats qui avaient reçu plus de classements des programmes de résidences étaient plus susceptibles d’être jumelés (RC = 1,185, p < 0,001). Les activités scientifiques de pointe (RC = 0,985, p < 0,001) et un certain nombre de candidatures soumises (RC = 0,90, p < 0,001) étaient associées avec une probabilité réduite de jumelage. Un certain nombre d’activités bénévoles et des publications autodéclarées ne modifiaient pas le jumelage de manière importante. Être un homme (RC = 0,799, p < 0,05) âgé de moins de 25 ans (RC = 0,756, p < 0,05) et de facultés canadiennes de médecine de l’Est (RC = 0,497, p < 0,01) et de l’Ouest (RC = 0,450, p < 0,001) étaient des prédicteurs des candidatures non jumelées.

Conclusions: Cette étude a établi plusieurs associations importantes de facteurs démographiques et de candidatures qui touchaient les résultats des jumelages. Les résultats aideront à mieux informer les stratégies de candidatures des étudiants en médecine et montrent les biais possibles dans le processus de sélection.